Il s’agissait d’un tournant, l’occasion de marquer durablement l’histoire de la course au large. Pour la première fois dans la discipline, six skippers se sont mesurés à bord de multicoques, autour du monde, en course, en ULTIM et en Solitaire. Ce défi humain, technologique et logistique exceptionnel est le fruit d’un travail commun de longue haleine mené depuis plusieurs années par les armateurs de la Classe ULTIM, avec le Groupe Télégramme, la Ville de Brest et la Région Bretagne. C’est dans ce cadre que les meilleurs marins du moment se sont donnés sans compter, repoussant ainsi leurs limites dans les océans les plus hostiles de la planète. Par sa présence massive au départ, à l’arrivée et sur les réseaux sociaux, le grand public n’en a pas manqué une miette. Bilan d’une première édition, remportée par Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild), qui fera date et qui permet déjà de se projeter avec enthousiasme sur la prochaine en 2028. 

Pour tous ceux qui ont suivi l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest depuis la terre, il reste des images plein la tête. Celles de l’émotion qui a saisi les skippers au départ de Brest, de cette journée ensoleillée du 7 janvier au moment de leur dire «au revoir». Puis il y a eu le temps de la course, la bataille effrénée des premiers jours, les confidences qui se font chaque jour un peu plus fortes et tous ces aléas à affronter. Place ensuite aux arrivées avec le franchissement de ligne de Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild), vainqueur au grand cœur, au lever du soleil. Lui ont succédé l’émotion de Thomas Coville (Sodebo Ultim 3), la satisfaction d’Armel Le Cléac’h (Maxi Banque Populaire XI), la fierté d’Anthony Marchand (Actual Ultim 3) et d’Éric Péron (Ultim Adagio). Tous ont eu une pensée pour Tom Laperche (SVR Lazartigue), acteur incontournable du début de course avec une descente effrénée de l’Atlantique, jusqu’à une avarie qui a mis fin à ses ambitions.  

« Avant que la course ne débute, les questions et les doutes étaient nombreux à propos de la capacité de ces ULTIM à réaliser ce challenge inédit, explique Guillaume Rottée, le directeur de course. Force est de constater qu’ils ont répondu présent puisque cinq des six skippers engagés sont parvenus à rallier la ligne d’arrivée. C’était un pari technique aussi et, grâce au travail de fond réalisé par chaque équipe sur ces bateaux éprouvés, il a été réussi. » À l’issue de ce périple épique et mythique sur les mers du globe, les skippers, leurs équipes techniques et les armateurs ont plongé la course au large dans une nouvelle dimension, contribuant à faire vivre des émotions uniques et inoubliables. 

Si le temps à l’arrivée est loin du record en solitaire détenu depuis 2017 par François Gabart – la météo de cette première édition n’ayant absolument pas permis de rivaliser -, Charles Caudrelier, skipper du Maxi Edmond de Rothschild, a malgré tout fait tomber quelques chronos, dont un record emblématique, tout au long de ce parcours mythique. Le vainqueur de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest s’est offert, entre l’équateur et le Cap de Bonne Espérance, le meilleur de l’histoire des multicoques autour du monde, que ce soit en équipage ou en Solitaire en 5 jours 17 heures et 21 minutes puis il a mis 18 jours 5 heures, 44 minutes et 5 secondes pour rallier le Cap Leeuwin depuis Brest, améliorant de 1 jour 8 heures, 25 minutes et 55 secondes la marque de François Gabart datant de 2017. Enfin, il récolte dans sa moisson le record de l’Océan Indien (WSSRC) puisqu’il a parcouru les 6 113 milles dans les mers du Sud entre le Cap des Aiguilles et le Cap du Sud-Est en 8 jours, 8 heures, 20 minutes et 36 secondes, améliorant ainsi de 3h57 le record en solitaire détenu par Thomas Coville depuis 2016.

Un succès populaire au départ et à l’arrivée

Au fil de l’événement, l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest a bénéficié d’un fort rayonnement à l’échelle nationale et au-delà de nos frontières. Le grand public ne s’y est pas trompé puisqu’il a répondu présent massivement, transformant la course en une grande fête populaire au cœur de l’hiver. Plus de 230 000 personnes sont venus vibrer sur les différents temps forts de l’événement : ils étaient ainsi plus de 150 000 visiteurs à s’être rendus au village lors des dix jours qui ont précédé le départ. Une multitude d’initiatives et d’animations avait été mise en place afin de les accueillir : l’Atelier des géants (espace immersif de 1000 m2), la scène ULTIM – Sant Erwann et les 20 espaces exposants soit un total de 10 000 m2 d’espaces au sol. À l’arrivée, le village a ouvert 12 jours et a accueilli plus de 80 000 spectateurs. 

Pendant la course, le grand public s’est donné rendez-vous au village de suivi de course qui était installé aux Ateliers des Capucins. Lors des 14 émissions qui ont été proposées, plus de 25 invités – partenaires, scientifiques, skippers professionnels – se sont succédés pour évoquer la course et son environnement. Les 26 partenaires engagés ont également contribué à cette grande fête en recevant plus de 4 000 invités dans les espaces réceptifs prévus à cet effet.

Une course qui a tenu en haleine les spectateurs dans le temps et sur tous les canaux de diffusion  

La course a rencontré un succès d’audience exceptionnel pour sa première édition. Dès le 7 janvier, plus de 1 250 000 téléspectateurs ont suivi le grand départ de la course sur les antennes de France 3, Tébéo. La course a généré plus de 8600 retombées en télévision, presse écrite, médias digitaux et radio, permettant de dégager 54 millions d’euros d’équivalent publicitaire.

Les canaux digitaux de la course ont été particulièrement suivis tout au long du tour du monde : les réseaux sociaux (près de 100 000 followers réunis, 55 millions d’impressions, 16,9 millions de vidéos vues) et le site Internet (16,55 millions de pages vues) ont été au coeur du suivi des fans de la course. Parmi les contenus privilégiés, la cartographie permettant de suivre la progression des skippers et de visualiser les photos et vidéos du bord, a enregistré 11,8 millions de visites (avec un pic de connexion à 408 000 vues le 8 janvier). Enfin, plus de 100 000 joueurs ont participé à la course via Virtual Regatta.

La protection de l’océan, un enjeu majeur

L’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest a été à la pointe concernant la sensibilisation et les actions en matière de protection de l’environnement. Pour la première fois, une course au large d’ampleur comptait des Zones de Protection des Cétacés (ZPC) sur l’ensemble du parcours. Une initiative qui fait désormais consensus auprès de tous les acteurs du milieu et qui a été reprise par les grandes épreuves océaniques. De plus, l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest s’est attaché à transmettre et à sensibiliser les plus jeunes à ces problématiques. Ainsi, en collaboration avec l’IFREMER, un kit pédagogique a été spécialement conçu et diffusé auprès de toutes les écoles de la métropole. Cette collaboration a également permis le déploiement d’une exposition sur la Protection de l’Océan, sur plus de 250 m2 au sein des villages de départ et arrivées, ainsi que dans l’espace de l’atelier des Capucins tout au long de la course. Au total, plus de 1000 élèves de la métropole ont visité cette exposition. L’association Surfrider, ONG Partenaire de l’événement, a également mené des actions de sensibilisation à travers des activités ludiques destinées aux visiteurs du village départ.

Le succès sportif et populaire rencontré par l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest est le fruit d’une mobilisation et d’un engagement exceptionnels de toutes les parties prenantes. La capacité des équipes d’OC Sport Pen Duick et de leurs partenaires majeurs – Arkéa, Brest Métropole et Ville, la Région Bretagne et le Département du Finistère – et des armateurs de la Classe ULTIM à travailler de concert est une des composantes majeures de cette réussite. Elle permet, surtout, d’envisager sereinement de s’inscrire dans le temps et de devenir un rendez-vous incontournable pour tous les passionnés de course au large et amateurs d’aventures. L’organisateur et l’ensemble des partenaires donnent ainsi rendez-vous pour la deuxième édition, en 2027, pour continuer d’écrire l’histoire de ces pionniers et de ces passionnés que rien n’arrête.

Télécharger le bilan de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest ici

ILS ONT DIT

Edouard Coudurier, Président du Groupe Télégramme :   Projet initié par le Groupe Télégramme et porté par sa filiale OC Sport Pen Duick depuis une quinzaine d’années, l’ARKEA ULTIM CHALLENGE-Brest marque une étape majeure dans la grande histoire de la course au large.
Ce succès sportif, médiatique et populaire, qui a permis à Charles Caudrelier de conforter son statut de « légende » de la voile, a été rendu possible grâce à l’implication du groupe Arkea, de la ville et la métropole de Brest, de la classe Ultim et de tous les partenaires.
Qu’ils soient ici remerciés chaleureusement de leur confiance.
Rendez-vous en 2027-2028 pour une deuxième édition encore plus belle, intense et spectaculaire.”

Julien Carmona, Président du Crédit Mutuel Arkéa et du Crédit Mutuel de Bretagne : ” Pour une banque territoriale comme la nôtre, c’est une réelle fierté d’avoir accompagné en tant que sponsor titre cette première édition de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest. Au-delà du défi sportif hors-norme relevé par six skippers d’exception, nous étions convaincus que cet événement organisé à Brest près de notre siège social constituerait une formidable vitrine pour valoriser notre territoire, ses entreprises et ses habitants. Les chiffres n’ont pas démenti cette intuition, puisque nous avons vibré aux côtés des 230 000 visiteurs cumulés sur le village, au départ et à l’arrivée. Un grand bravo aux sportifs comme aux organisateurs pour cet événement majeur, que ce soit pour la course au large ou pour le bassin brestois.”

François Cuillandre, Président de Brest Métropole et maire de Brest : ” Je retiens de cette première édition le formidable engouement des publics venus de Brest et d’ailleurs et présents chaque jour Quai Malbert pour vivre en direct un incroyable exploit sportif que représentait cette course. Autre grand moment de ferveur populaire, le retour des skippers, notamment celui de Charles Caudrelier. Quelle ambiance à Brest à cette occasion ! Rendez-vous est pris pour la prochaine édition fin 2027 avec, je n’en doute pas, une grande mobilisation de notre collectivité, des partenaires locaux et de tous les passionnés de la course au large.” Loïg Chesnais-Girard, Président de la Région Bretagne ” Avec ce premier tour du monde en ULTIM, en course et en solitaire, la Bretagne a participé, une fois encore, à écrire une nouvelle page de l’histoire des courses océaniques ; cette aventure technologique, humaine et sportive extraordinaire ressemble à la Bretagne, aux Bretonnes et aux Bretons avec pour valeurs partagées l’humilité, la passion et l’engagement. Et c’est donc naturellement que l’ensemble de la Bretagne a fait corps avec ces marins d’exception et qu’elle a vibré au récit de leur aventure maritime. À ces pionniers capables d’affronter la démesure des éléments, j’adresse toute mon admiration, mon profond respect et mes très sincères félicitations.”Maël de Calan, Président du Département du Finistère : ” L’ARKEA ULTIM CHALLENGE-Brest a tenu ses promesses et démontré, une nouvelle fois, l’excellence des navigateurs bretons. Les skippers et leurs équipes ont relevé un véritable défi technique, nautique et humain, écrivant une nouvelle page de la course au large pour la classe Ultim. Cette aventure océanique a rassemblé un large public et à travers la victoire de Charles Caudrelier, nous saluons l’engagement de toute une filière qui démontre que l’avenir de la course au large s’écrit dans le Finistère ! “Patricia Brochard, Présidente de la Classe ULTIM : “ 2024 a débuté de la plus belle des manières avec l’arrivée de ce tour du monde historique. Cinq skippers sur six au départ ont réussi le pari extrême d’une circumnavigation en solitaire des plus engagées autour du globe à la barre de leurs maxi-multicoques de 32 mètres. Ces athlètes hors normes, nous armateurs et nos équipes en avions toutes et tous rêvé. Le vainqueur Charles Caudrelier suivi de Thomas Coville, Armel Le Cléac’h, Anthony Marchand, Éric Péron l’ont fait ! Je souhaite, au nom de la Classe ULTIM, saluer l’impressionnant exploit qu’ils ont réalisé sans oublier Tom Laperche contraint à l’abandon. Cette performance représente l’aboutissement de 10 ans de construction et de développement et donc une étape majeure très importante pour nous toutes et tous. Tout ceci n’aurait pu avoir lieu sans le travail collaboratif de toutes les équipes de la Classe ULTIM, associées aux équipes de OC Sport Pen Duick, l’organisateur et tous les partenaires publics et privés de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest  sans oublier les médias qui étaient au rendez-vous.”Joseph Bizard, Directeur Général d’OC Sport : ” Course à taille planétaire, qui a consacré des marins hors du commun, l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest s’impose désormais au Panthéon de notre sport.
Grande épreuve de voile océanique, cette première édition nous a, à nouveau offert l’opportunité d’un rassemblement populaire comme seuls la Bretagne et Brest savent nous l’offrir.
Une ferveur, avec 230 000 visiteurs cumulés, à la hauteur du défi relevé par les marins au départ comme à l’arrivée.
Ils étaient aussi extrêmement nombreux à suivre leurs exploits sur les plateformes de communication de la course et notamment au moment du départ. Il a réuni un nombre remarquable de 1.250 million téléspectateurs sur les antennes de France Télévisions.
Le format de la course – savoureux mélange d’aventure, de défi et de compétition – en phase avec les origines de notre sport, a joué à plein et su mobiliser et passionner le grand public.
Ainsi donc, si cette soirée de clôture marque la fin d’une première grande aventure, elle ouvre aussi pour nous tous une nouvelle séquence jusqu’à la deuxième édition à venir à l’hiver 2027-28 ! “
Charles Caudrelier, skipper du Maxi Edmond de Rothschild :

 ” Quand je suis arrivé au sein du Gitana Team en 2019, l’équipe avait eu cette audace de concevoir et de mettre au point le premier multicoque de course au large capable de voler en haute mer. Mener le Maxi Edmond de Rothschild était un challenge énorme pour moi et je rêvais de Route du Rhum et de tour du monde. Cinq ans plus tard, je suis un skipper comblé avec ces deux lignes extraordinaires de plus à mon palmarès et celui du Gitana Team. Remporter cette première course autour du monde des ULTIM était la consécration d’un projet et de toute une équipe, c’est pour cela que c’était si fort.
Personnellement, je garde en tête un moment d’émotions vraiment particulier sur ce tour du monde, avec le passage en tête du cap Horn et cette chance d’être le premier skipper d’un bateau volant à doubler ce cap mythique. Nous sommes des compétiteurs et nous cherchons l’adrénaline des régates mais c’est aussi pour des moments comme celui-là que je fais mon métier. “

Thomas Coville, Skipper de Sodebo Ultim 3 : ” Nous avions tellement rêvé de cette course autour du monde. Avec les cinq autres marins, nous pouvons dire que nous avons été les pionniers d’une ère nouvelle avec ces bateaux incroyables. Ce tour du monde à bord de Sodebo Ultim 3 a été un engagement et un dépassement de soi intense. Je retiens le regard des gens à Brest le jour de mon arrivée : d’abord mon équipe technique, ma famille, mon partenaire et puis le public… Cette émotion est imprégnée dans ma mémoire. “

Tom Laperche, Skipper du Trimaran SVR-Lazartigue : ” L’ ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest est une course hors du commun, un souvenir incroyable d’avoir pu participer à ce premier tour du monde en course en solitaire avec le trimaran SVR-Lazartigue. Ce départ de Brest restera un grand moment ! Évidemment c’est décevant de s’arrêter après une descente de l’Atlantique magique mais cette course  m’a convaincu que naviguer en solitaire sur ces trimarans à l’échelle de la planète est extraordinaire et passionnant et j’ai déjà hâte de recommencer dans quelques mois en équipage pour voler autour du monde ! ” Armel Le Cléac’h, Skipper du Maxi Banque Populaire XI :

 “ Ce tour du monde a été une vraie aventure pour moi . Cela ne s’est pas déroulé comme je l’imaginais mais j’ai énormément appris ainsi que toute l’équipe qui m’accompagne. Je remercie encore le public très présent au départ et à l’arrivée de ce premier tour du monde en solitaire en ULTIM ! “

Anthony Marchand, Skipper d’Actual Ultim 3 : ” Nos Ultims sont faits pour naviguer sur un parcours autour du monde ! Encore aujourd’hui, 4 mois après mon arrivée, je me souviens de chaque bricolage, chaque événement, chaque situation météo. Je n’ai que de très beaux souvenirs… Les moments difficiles se sont transformés en aventure humaine très forte avec le team.  C’est une véritable réussite humaine et sportive que l’on partage avec le team. “

Éric Péron, skipper de l’ULTIM ADAGIO : ” Cet ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest est une expérience inoubliable. Une première édition qui nous a permis de partager une émotion extrême avec notre équipe, nos proches, nos partenaires et des milliers de personnes. En réalisant ce tour du monde, j’ai l’impression de m’être accompli en tant que marin. C’est un projet qui compte particulièrement dans une vie. Toute cette énergie autour de moi et de ce projet, c’est grisant et ça ne donne envie que d’une chose : y retourner. J’étais en solitaire mais ce que je retiens avant tout, ce sont toutes les personnes engagées avec lesquelles on a vécu une super aventure humaine. Donc y retourner, oui, avec un partenaire qui souhaiterait s’engager à mes côtés sur la durée, et avec la même envie de partager avec un maximum de monde. “

A propos d’OC Sport Pen Duick :
OC Sport Pen Duick est la filiale française du groupe OC Sport en charge des événements de course au large. Créé pour gérer les campagnes sportives d’Eric Tabarly, d’une part, et Dame Ellen MacArthur de l’autre, figures emblématiques du sport international, le groupe perpétue fidèlement l’esprit et les valeurs qui animaient ces pionniers fondateurs : vivre et partager des expériences uniques avec le public, les sportifs et les partenaires.
Historiquement engagé dans la course au large, le groupe a développé une expertise unique dans la voile professionnelle en s’appuyant sur un double savoir-faire dans la gestion d’équipes et l’organisation des courses les plus prestigieuses (La Route du Rhum – Destination Guadeloupe, ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest, The Transat CIC, La Solitaire du Figaro Paprec, la Transat Paprec, Le Tour de Belle-île,…). OC Sport Pen Duick est une société du Groupe Télégramme.

A propos du Groupe Télégramme : Imaginer demain, agir au quotidien
Le Groupe Télégramme est un groupe de média et de services engagé sur 3 métiers :
– Délivrer au quotidien une information de qualité, assurée par des professionnels de terrain, proche des préoccupations des citoyens
– Accompagner les actifs dans leur vie professionnelle (nouvel emploi, projet de formation ou de mobilité) et les recruteurs, employeurs, formateurs sur leurs enjeux RH, de recrutement et de formation.
– Imaginer et développer des expériences sportives et culturelles uniques, tout en conduisant le changement vers un avenir plus propre. Au travers de ces 3 branches d’activités, le Groupe Télégramme informe 1 Million delecteurs par jour, effectue plus de 46 millions de mises en relation candidats-recruteurs par an et organise près de 330 concerts et évènements sportifs chaque année.
Engagés chaque jour, les 1280 collaborateurs du Groupe Télégramme sont tournés vers l’avenir et mettent en œuvre la mission du groupe, « Innover pour faire grandir le lien social » dans des moments clés de la vie.
Le Télégramme est le troisième quotidien régional français imprimé. Élu meilleur quotidien français au Grand Prix des Médias en 2015, il est l’un des rares titres de presse française à avoir obtenu la note maximale de 100/100 dans le rapport 2021 de Newsguard.
HelloWork Group est le 1er acteur digital français de l’emploi, du recrutement et de la formation.
OC Sport et OC Sport Pen Duick sont les leaders de la création d’expériences sportives.

A propos de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest :
L’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest est le défi océanique le plus extrême jamais réalisé en course : un tour du monde, en solitaire, en Ultim 32/23. Ils étaient six marins à bord de leur « Géant des mers » à s’élancer de Brest le 7 janvier dernier pour un tour du monde d’Ouest en Est, par les 3 caps (Bonne-Espérance, Leeuwin et Horn). Un défi humain et technologique hors-normes, 40 à 50 jours durant lesquels les skippers sont soumis à des variations extrêmes de conditions météorologiques et doivent composer avec le vent, les vagues, la houle et les glaces.
Cette course est organisée par OC Sport Pen Duick, aux côtés de partenaires engagés : ARKEA, la Ville de Brest, Brest Métropole, la Région Bretagne et le Département du Finistère.