Coupe de France, 1er Tour.
AS Val d’Erdre-Auxence (D3) – Saint-Florent FC Blé (D3) : 3-2 (MT : 0-2)
Buts : Steven LELARGE (60e et 70e) et Flavien CHAMPIRE (80e) pour l’AS Val d’Erdre-Auxence.
Le résumé du match de Mickaël JEMIN, l’entraîneur de l’AS Val d’Erdre-Auxence :
“Le début de match fut compliqué pour nous, puisque après cinq minutes, nous concédons un penalty que Saint-Florent transforme (0-1, 5e). Après ce but, il ne se passe plus grand-chose, il n’y a pas de rythme et pas d’occasions. Sur un ballon mal dégagé par notre défenseur, nous offrons une occasion en or au n°9 adverse, qui transforme cette offrande, nous somme menés 0-2 après vingt-cinq minutes de jeu. Au fil du match, nous prenons l’ascendant, mais nous avons du mal a nous montrer dangereux. Malgré de nombreux coups francs, nous n’arrivons que rarement à inquiéter le gardien de but adverse. Nos adversaires commencent à souffrir physiquement. Mi-temps : 0-2. La deuxième mi-temps est totalement à notre avantage, nous accumulons les situations chaudes devant le but adverse, c’est finalement Steven Lelarge qui dévie une frappe de Nicolas Gandon qui réduit le score (1-2, 60e). Puis, Steven parti de la ligne médiane s’en va battre le gardien de but adverse (2-2, 70e), nos adversaires perdent pied et cinq minutes plus tard, ils concèdent un penalty. Malheureusement, le gardien de but repousse le penalty de Steven Lelarge. Malgré cela, nous continuons de mettre en grande difficulté Saint-Florent et s’est logiquement que nous prenons l’avantage sur un magnifique coup franc de Flavien Champire (3-2, 80e). Nous avons plusieurs fois l’occasion d’alourdir le score, mais nous ne faisons pas les bons choix. Dans les arrêts de jeu, nous concédons deux coups francs “bêtes” qui auraient pu permettre à nos adversaires de nous mettre en danger, mais la défense repousse le danger. La qualification est logique, mais ce fut compliqué. Être mené 0-2 après vingt minutes et se qualifier, c’est presque un exploit. Heureusement, notre adversaire du jour n’était pas au même niveau physique que nous, aujourd’hui.”